Apprendre à s’affirmer pour éviter les abus

Publié le : 17 mars 202116 mins de lecture

Dans une entreprise, ou dans une maison ou dans n’importe quel endroit, l’agression se définit comme une attaque non provoquée, injustifiée et brutale contre quelqu’un, ou contre un pays. Par exemple, une femme ou des enfants sont victimes d’une agression ou d’un viol. C’est aussi une attaque d’ordre psychologique ou physiologique due à l’environnement ou due à un manque de contrôle émotionnelle ou physiologique d’un individu. L’agression peut être éventuellement précédée de manifestations de provocation, ainsi que résulter d’une action préméditée. En sciences sociales et comportementales, l’agression définit une atteinte à l’intégrité physique. Dans ce cas, on parle d’agression physique ou psychologique des personnes. L’agression vise à causer des dommages ou instaurer une domination dans un contexte relationnel, social ou international. Le comportement défensif ou prédateur chez différentes espèces ne peut être considéré comme une agression dans un sens similaire du terme. Le comportement assertif ou la doctrine de la non-violence visent à empêcher ou à réduire les comportements agressifs. Est-ce que je suis réellement faible ? Pourquoi moi et pas quelqu’un d’autre ? Les mauvais traitements sont sélectifs, du moins c’est ce qu’il semble à ceux qui ont été maltraités d’une manière ou d’une autre. La violence peut venir du partenaire, des amis ou même de la famille. Les abus peuvent  surprendre à tout moment et prendre au dépourvu. Les mauvais traitements peuvent être à la fois physiques et verbaux. Il faut toujours bien se souvenir de ce détail, car la violence verbale est probablement la plus courante, car elle est la plus difficile à détecter. Elle est tellement voilée que, parfois, on ne peut pas comprendre qui sont les agresseurs, car leur violence réside dans leurs paroles.

Apprendre à s’affirmer

L’affirmation de soi est une compétence essentielle qui, de manière claire et ouverte, permet de révéler vos besoins et désirs, sans agressivité et dans le respect de l’autre. Le comportement d’affirmation de soi est un comportement actif qui ne contraint pas ni ne porte atteinte à l’autre. (Paterson, 2000 ; Phelps & Austin, 2002). L’affirmation de soi implique de savoir ce que l’on pense, ce que l’on ressent, ce dont on a besoin, ce que l’on désire et ensuite, de le communiquer clairement à autrui en le respectant.

L’administration Michel Freud formations. L’affirmation de soi réside dans la faculté d’exprimer ce que l’on ressent, ce que l’on désire et ce l’on refuse. Elle inclut également la capacité de faire respecter ses droits de la façon la plus naturelle. S’affirmer face à autrui n’implique pas de hausser le ton, de faire à tout prix prévaloir son opinion en l’exprimant comme une certitude, au risque de s’engager dans une lutte de pouvoir où l’on ressortirait vidé de son énergie. S’affirmer, c’est oser prendre sa place dans les différentes sphères relationnelles telles que la famille, le couple, l’entreprise et les amis.

La première chose à comprendre si vous ne voulez pas être maltraité, c’est que vous devez apprendre à vous affirmer. L’affirmation est une qualité que l’on peut apprendre. Apprenez à faire valoir vos droits, apprenez à être respecté, apprenez à exprimer vos sentiments. C’est très facile à dire, mais plus difficile à faire, et l’agresseur le sait. Pour cette raison, essayez toujours de tirer parti des situations qui vous laissent complètement bouche bée, cela vous surprend ! De cette façon, vous ne saurez pas comment réagir. Tant qu’une telle situation ne se produira pas une seconde fois, vous ne saurez pas vers quoi vous tourner. Vous vous sentez confus, parfois même perdu, et vous êtes tellement surpris par les actions de l’agresseur que vous êtes presque en état de choc. C’est tout à fait normal. Parfois, la situation est plus grave que vous ne le pensez. Des situations différentes et variées auxquelles vous ne vous attendiez pas, et encore moins aux mains de cette personne. À ce stade, il est nécessaire de réfléchir à la question suivante : allez-vous répondre ou allez-vous réagir aux mauvais traitements ? Ce sont deux choses très différentes. N’oubliez pas que l’important est de ne pas entrer dans le jeu de l’agresseur, ce que vous devez obtenir, c’est qu’il cesse de se soucier de vous. Pour ne plus être intéressant pour l’agresseur, il faut savoir se défendre devant tout ce qu’il vous dit. 

Pour les enfants, À qui apprend-on à dire « non » ?

Le premier problème pour l’administration est que ces indications seront principalement données aux petites filles, puis aux adolescentes, mais très rarement aux garçons. Les rôles sont alors d’emblée bien distincts, et ouvrent aux filles un champ d’action uniquement réactif : dire « non » face à quelque chose dont elles n’ont pas l’initiative. À l’inverse, la possibilité pour les garçons de refuser, de ne pas vouloir ou de ne pas rechercher de relations sexuelles n’est par exemple que rarement évoquée : la norme présupposée est qu’ils n’ont jamais de raison de dire « non ». Or une norme est beaucoup plus claire si elle est énoncée de façon réciproque, comme un droit et une obligation : je dois demander le consentement, de même que l’on doit me demander mon consentement, sans quoi la personne a tort et fait quelque chose de mal. Dans le même temps, la prévention des violences sexuelles sur des garçons mineurs demeure un point aveugle de la prévention.

Apprendre à dire « non », aux enfants,  mais à quoi ?

Si nous savons bien dès notre plus jeune âge qu’il faut dire « non », nous ne savons pas bien à quoi. Cette réaction est induise de façon abstraite, le plus souvent sans éducation à la sexualité. Pour moi, il s’agissait principalement de ne pas aller chez un inconnu et de ne pas monter dans sa voiture. Comment alors comprendre la signification de gestes sexuels imposés dans des contextes de proximité ? Comment savoir ce qui est permis ou interdit, normal ou anormal ? La conséquence directe de cette absence de contenu concret dans la prévention des violences sexuelles est que des gestes non-consentis ne seront pas rapportés parce qu’ils restent informulables – ils ne correspondent à rien de ce qui a été donné à l’enfant pour penser, catégoriser, mémoriser et juger. De surcroît, ces gestes ont beaucoup de chance de sidérer l’enfant s’ils ne sont pas reconnaissables ou pensables a priori, et donc de priver de la possibilité d’une réaction. La peur abstraite de l’enlèvement (véritablement terrifiante) doit donc être remplacée par une prévention intégrée à une éducation plus large sur le corps, le nom des parties du corps, la signification des gestes et le contexte légal qui les entoure.

Ne jouez pas l’attaquant

Comme on l’a déjà dit, la meilleure chose à faire est de ne pas jouer son jeu. C’est pourquoi votre réaction est très importante, car c’est ainsi que l’agresseur saura s’il doit vous laisser tranquille ou continuer. De nos jours, il existe diverses publicités contre les abus. Ces publicités reflètent tout ce qu’on rencontre dans vie quotidienne.

Selon l’auteur, notre société actuelle ne favorise pas une bonne estime de soi du fait de la pression de la publicité et du marketing. Pression sur l’image du corps : dictature de l’apparence : être jeune beau et mince (augmentation du flux d’images liées aux nouvelles technologies), si notre estime de nous est faible : cette confrontation aux standards physiques du cinéma et des magazines (muscle, minceur) renforce cette fragilité. Pression de la réussite et du conformisme social : on est entré dans une possibilité de mobilité sociale (la réussite) dans laquelle on peut échouer… Mensonges de la pub : il y a plus d’argent à gagner en suggérant aux personnes de ne pas s’accepter telles qu’elles sont

Conséquences de ces pressions sociales sur l’estime de soi : notre société fabrique des estimes de soi haute mais fragile

À cet égard, voici quelques facteurs à prendre en compte et qui vous aideront à lutter contre un agresseur.

– L’agresseur va créer la peur en vous. Utilisez-le pour réfléchir rapidement, pour rester éveillé et pour savoir comment réagir. Ne laissez pas la peur vous paralyser ou vous faire échouer. 

– Soyez convaincu et doutez de tous les ordres donnés par l’agresseur. Ne lui faites pas savoir qu’il a un pouvoir sur vous. Qui est-il pour vous donner des ordres ?

– Ayez confiance. La confiance en soi est quelque chose de palpable et fait fuir tout agresseur qui cherche une victime.

– Ne soyez pas agressif, car cela vous fera entrer dans son jeu. L’important est de ne pas être trop soumis ou trop agressif. Un équilibre entre les deux est la meilleure chose.

– Le langage non verbal trahit. Restez calme, regardez l’autre dans les yeux et gardez les yeux fixés. Il est très important que votre voix ne tremble pas et que vous soyez confiant à tout moment. Il est vrai que certaines personnes sont plus exposées aux abus que d’autres. Par exemple, certaines personnes s’opposent à la violence verbale et deviennent pour cette raison victimes d’agressions physiques. C’est quelque chose dont on parle toujours, mais ensuite, par peur, peu agissent. Si vous pensez ne pas être en mesure de prévenir les abus, demandez de l’aide. N’importe quelle loi ou « lex » en anglais, réfute l’idée tout acte d’abus. Pour cela, il convient de l’éviter. Il faut noter que le mot Eviter donne « prevent » en anglais. Il y a des gens qui peuvent vous aider et vous soutenir. Vous n’êtes pas seul.

– Apprenez à dire « non », apprenez à savoir ce que vous voulez, ce que vous ne voulez pas permettre, ce que vous méritez. Il est important de garder le contrôle de soi dans ce moment précis. La confiance en soi effraie les agresseurs. Une grande estime de soi et une sécurité inébranlable seront vos meilleures armes pour faire fuir les agresseurs et les empêcher de s’approcher de vous. De nos jours, on doit enquêter sur les abus sociaux. En anglais, abus donne « abuses ».

Protéger l’estime de soi des influences toxiques, de la publicité et des pressions sociales

Pression sur l’image du corps : dictature de l’apparence : être jeune beau et mince (augmentation du flux d’images liées aux nouvelles technologies), si notre estime de nous est faible : cette confrontation aux standards physiques du cinéma et des magazines (muscle, minceur) renforce cette fragilité

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Pour la protection et pour se défendre contre un abus de faiblesse, il faut être en mesure de pouvoir le dénoncer, et donc d’exposer les méfaits face à une juridiction. Cette étape peut s’avérer délicate dans la mesure où la personne pouvant porté plainte contre abus de faiblesse est la victime. La dénonciation d’un abus de faiblesse peut se faire devant le juge civil ou encore le juge pénal. Pour le fonctionnement : Selon l’article du Code pénal, pour parler d’abus de faiblesse, il sera nécessaire de démontrer que l’état de faiblesse était supporté par : soit un mineur, soit une personne dont la particulière vulnérabilité, due à son âge, à une maladie, à une infirmité, à une déficience physique ou psychique ou à un état de.

Le droit

Savoir le droit individuel: À quoi sert le droit ? Dans la théorie marxiste, il constitue un instrument au service d’une classe sociale dominante, aux fins d’affirmer sa domination et un fonctionnement de la société conforme à ses intérêts collectifs ; puis, une fois accomplie la révolution prolétarienne, il deviendra l’outil de la lutte contre la classe bourgeoise déchue, avant de disparaître dans une future et fraternelle humanité. Dans la théorie nazie – autre doctrine totalitaire –, il est encore un instrument de domination du parti et des groupes se substituant à l’individu : l’État tout-puissant intègre les individus supposés lui apporter leur adhésion, dans une logique hégélienne. Le droit ne sert à rien ; il n’est qu’une technique, une machine. Il ne sert surtout à rien pour les hommes les plus faibles ; il sert à tout contre eux, il les exclut et les broie.

le System Caritas reconnaît le droit des enfants et des adultes vulnérables à être protégés, quel que soit leur  sexe, leur race, leur culture ou leur handicap. Caritas reconnaît l’existence de rapports de force  inhérents au fait de travailler avec des enfants et des adultes vulnérables, et le risque potentiel  d’abus et d’exploitation de ces personnes de la part du personnel concerné.  Caritas s’engage à créer et maintenir un environnement qui mette en avant ses valeurs  fondamentales et permette de prévenir les abus et l’exploitation des personnes. Le personnel et les  associés de Caritas sont appelés à préserver la dignité de tous ceux avec qui ils entrent en contact,  en faisant preuve à tout moment d’un comportement personnel et professionnel irréprochable. Ils  sont également appelés à servir de manière intègre et à promouvoir une bonne entente dans  l’exercice de leurs responsabilités.  Caritas reconnaît le caractère particulier des besoins des enfants et des adultes vulnérables, et  s’engage en conséquence à créer et maintenir un environnement qui permette de les protéger.

luter contre! et avoir le but.  quelque part dans le monde, une femme, un homme, un enfant est victime d’une agression non dénoncée de la part d’une personne en position d’autorité : viol, intimidation, harcèlement sexuel ou psychologique, fraude, réduction de l’autre à l’esclavage. Les mouvements sociaux tels :Agressions Non Dénoncées, ,Moi Aussi, Balance Ton Porc offrent aux victimes une solidarité qui les encourage à briser le silence, à dénoncer leurs agresseurs, à participer à l’établissement d’une société plus juste. Désormais, les victimes ne se résignent plus à subir sans rien dire les comportements abusifs des personnes en autorité. Elles croient assez en la démocratie pour défendre leur droit à la dignité et à la liberté. Mais que pouvons-nous faire pour prévenir de tels crimes ?

A titre d’information, le taux d’agression ou de violence conjugale a considérablement augmenté depuis le confinement. C’est aussi un abus même s’il s’agit de personnes mariés. Au sein d’une entreprise, la confiance doit régner pour éviter des délits notamment des abus de confiance. La victime est abusé que ce soit psychologiquement, physiquement ou économiquement. En France, le coronavirus n’a pas amélioré les choses surtout sur en temps de confinement.

 

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